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all metal and for death
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all metal and for death

VIP-Blog de sisare-mital
be-death-@hotmail.fr

  • 157 articles publiés
  • 25 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 18/07/2006 22:58
    Modifié : 18/03/2008 21:58

    Garçon (21 ans)
    Origine : hell
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    [ death metal ]

    27/10/2006 15:03





    photo Korn


    :: Chroniques ::

    See You On The Other Side
    Note : 14.5 / 20
    Année : 2005
    A Ecouter : Love song, tearjerker, Getting off, Throw me away, Liar.
    :: Acheter sur Amazon ::
    - 115 Commentaires (Moyenne : 14.34/20) -

    Après un TALITM plus que mitigé, une sorte de pseudo retour aux sources bâtard et sans âme, le groupe a donné son guitariste Head à dieu, dans une rédemption ultime. Intellectualiser cette nouvelle sortie du groupe serait quelque chose de facile, en lui donnant des sens cachés qu'il ne possède pas. Enfin, le groupe s'est regardé dans un miroir à quatre et a décidé de s'interroger sur sa réelle identité. Cet opus est la réponse à toutes ces questions.

    Alors oui, Korn n'a plus rien a pleurer, à gémir et à vomir à la gueule des kids (album Korn et Life is peachy). Korn a toujours un temps d'avance déroutant sur les autres, un avant gardisme intéressant. Et c'est d'ailleurs en acceptant cela que le groupe a pondu ses meilleurs albums. Cet album montre que Korn assume enfin et va de l'avant. Ce que Korn assume ce sont d'abord ses influences principales. Godflesh a toujours été fascinant pour le groupe et ici on sent que le son de gratte de J.K Broadrick, bestial, grave et gras est passé par là. Munky joue bas, très bas, tel une tondeuse a gazon vrombissante, le tout réhaussé par une production parfaite. Silveria livre lui ses meilleures parties batterie depuis les deux premiers essais : sons robotiques proches d'une boite à rythme très Streetcleaner, produits efficacement.

    Pourtant, ce disque n'est pas violent comme peut l'être un album de Godflesh. En effet Korn, grâce aux producteurs de With teeth de NIN ou de nombreux participants d'horizons électro, touche à un son plus indus ambiant popisant. En cela , les premières expérimentations faites sur Issues sont poussées à outrance (Throw me away). Davis quant a lui revient sur des parties plus complexes au chant, en extrêmisant ses variations de voix type Untouchables. Et il faut dire que ça prend, peut être grâce à la multitude d'effets (artifices pour les détracteurs) utilisés, et alors? Le tout donne des chansons poignantes, entre efficacité, machinisme et pop (Love song). L'expérimentation semble en effet être maître mot : distorsions déjantées, ambiances inquiétantes et grandiloquantes et passages très prenants (Tearjerker est une conclusion OVNI, sur un clavier qui explose de manière torturée et magistrale).

    Là où le bât blesse, ce sont sur des passages un peu putassiers, disséminés dans plusieurs endroits du CD, inutiles et rebutants, empruntés à un Cold des plus désagréables. Fieldly est inexistant aussi, mais est ce réellement un défaut vu le son désagréablement surmixé de sa basse sur le TALITM. Il est aussi notable que parfois, ce besoin d'experimentations dépasse les bornes, avec des moments surjoués qui n'ont pas grand chose á faire sur le disque : intro de Twisted transistor inutile, borborygmes déglingués pas très sincères et cornemuse qui arrive parfois comme un cheveu sur la soupe.

    Ainsi, Korn renouvelle son son pour notre plus grand plaisir, certes non sans défauts mais le risque artistique l'excuse, l'effort est notable. En prenant les points positifs du très bon Untouchables (guitares très lourdes et voix géniale) et en extrêmisant les expérimentations d'Issues, le groupe crée ce nouvel album, entouré d'un fond musical intimiste et affirmé. La trilogie entamée avec Issues et Untouchables est enfin bouclée, en zappant l'interlude Talitm.

    PS: L'édition deluxe est agrémentée d'un joli bonus avec de très bonnes faces B: Eaten up inside qui aurait pu sortir d'Untouchables et un bon Last legal drug très With teeth. Pourtant, nous avons droit à une floppée de remixes sans interêt d'un morceau faible : twisted transistor. Pitié...



    Take A Look In The Mirror
    Note : 18 / 20
    Année : 2003
    A Ecouter : Rigth now, Alive, Let?s do this now, Break some off et beaucoup plus si affinit鳠?...
    :: Acheter sur Amazon ::
    - 70 Commentaires (Moyenne : 14.01/20) -
    A été album du moment

    Surprenant … c’est le premier terme qui frappe mon esprit à l’écoute de cet album. Korn nous avait habitué à aller là où on ne les attend pas et force est de dire que Take a look in the miror ne déroge pas à cette règle. Quelque peu déçu par Untouchables, ce nouvel opus remplie de loin toutes mes attentes et me laisse bluffé. Alors que je pensais voir le groupe poursuivre l’évolution entamée sur le précédent album, ils prennent la tangente en revenant à un son plus brut, plus violent et beaucoup plus direct dans la forme. Les envolées mélodiques et les nombreux efforts sur la voix s’effacent (mais reste tout de même présents, Did my time en ai la preuve) au profit d’un chant gras et puissant, flirtant avec le bourrinisme … ceux qui taxaient Korn de mou de la fesse n’ont plus qu’à se pencher sur le cas de Break some off pour s’extasier devant les prouesses rageuses des californiens.

    Dépassé le cap du choc, les muscles se relâchent, la mâchoire se desserrent et le disque apparaît sous un jour nouveau. Affirmer que ce sixième effort est la synthèse des cinq précédents résumerait rapidement l’âme du nouveau Korn. La rage et la violence des deux premiers opus (même si elle apparaît peut-être moins sincère et plus « propre »), une basse furieusement slappée (élément quelque peu délaissé sur Untouchables), une lourdeur des grattes oscillant entre Follow The Leader et Issues… tout est réuni pour dévaster les faibles tympan de l’auditeur. Le lien connectant toutes les étapes sonores du groupe semble bien établi mais surtout bien efficace.

    Plus violent, c’est indéniable, la mélodie n’est pourtant pas totalement écartée : nombre de couplets sont véritablement chantés et les nombreuses montées en puissance préparent à peine aux coups de masse des refrains (Here it comes again) … assommant ! Pourtant, Korn ne s’est pas non plus échoué sur un rivage extrême, ils reviennent juste à un horizon beaucoup plus énervé … et ça, ce n’est pas pour me déplaire !

    L’élément qui a particulièrement retenu mon attention est Alive … pour certains il l’appréhenderont comme un nouveau morceau comme les autres, et pourtant … Alive était déjà présent sur la toute première démo (cette compo était en fait une base pour Need to présent sur le premier album, la partie de batterie ét ant la même ). Le retour de cette vieille compo retravaillée m’a presque conduit au coma … pour moi le meilleur morceau de l’album … A côté de cette perle se bouscule les tueries en puissances (on évitera tout de même de s’attarder sur Play me où apparaît le rappeur Nas qui sans être un morceau exécrable n’as pas vraiment sa place ici) : Let’s do this now, Everything I’ve know, Rigth now sont autant de petites réussites conciliant tout les facettes de ce dont Korn est capable. Avec Ya’ll want a single ils troublent ma perception : intro aux limites du ridicule, couplets grandiloquents et refrains brutal … le groupe prends ses libertés et s’amuse, ça fait plaisir !

    Le sixième opus de Korn est un très bon album … le doute n’est pas permis ! Le lien entre les origines et aujourd’hui est établi et nous amènent à réaliser qu’entre la révolution et la continuité, la barrière est facilement franchissable. On se dira finalement qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué … et même achevé !



    Untouchables
    Note : 17 / 20
    Année : 2002
    A Ecouter : Beat It Upright - Here To Stay - Hollow Life - ...
    :: Acheter sur Amazon ::
    - 63 Commentaires (Moyenne : 15.27/20) -
    A été album du moment

    Ce n'est pas une mince affaire que de chroniquer un album tel que celui-ci, tout d'abord car Korn quoi qu'en pense a marqué de son son la décennie passée et risque fort de marquer celle future avec Untouchables. J'entend déjà hurler au scandale, que cet album est une merde et ne vaut pas les deux premiers, ceux à quoi je répondrais : " Va écouter ACDC tu n'auras pas de surprises comme ça ". Oui en effet Korn a évolué, après avoir imposé un son lourd au métal mondial avec Korn et Life Is Peachy, après avoir allié métal et hip-hop avec son Follow the leader, Korn s'attaque aux mélodies, aux structures plus complexes, nouveau tournant artistique amorcé par l'incompris Issues et qui voit ici une incroyable et époustouflante suite avec ce Untouchables qui fera peut-être entrer Korn au panthéon des groupes justement intouchables.

    Parlant tout d'abord du son, car Korn est avant tout un son, une genèse acoustique des plus improbables il y a dix ans qui pourtant est dorénavant vomi par les " kids " à baggy et collier à clous. Et sur cet album le son est démentiel, sans parler des secousses sismiques d'un Here To Stay voir Blame où basse, batterie et guitares s'entrechoquent tels le marteau frappe son enclume, les lignes de chants sont plus que doublées sur certains passages (Make Believe où Jonathan Davis approchera Jerry Cantrell), les riff arrivent également à se faire léger avant de replonger dans les profondeurs comme sur One More Time. Un seul petit riff suffit à identifier le groupe, une intro de 5 secondes vous fera reconnaître instantanément le morceau, c'est sûrement ce qu'on appelle le talent.

    Untouchables est un album aux tonalités bien différentes, spasme de néo dans Bottled Up Inside, flirtant avec le gothique et les ambiances lugubres style Ozzy comme sur Make Believe ou encore des balades macabres telles Alone I Break. Sur les 14 titres, Korn montre sa capacité et sa maîtrise de tout les éléments, violence ou calme, mélodie simple ou compliquée, Korn est à l'aise dans tout les cas. Après le rap, le métal, le groupe montre une facette plus indus, sa famille d'origine et certains chœurs de Beat It Upright ne ferait pas tâche dans une production de Manson.

    5éme album et coup de maître pour ce groupe mythique, Jonathan Davis montre ici ces capacités à couvrir un répertoire extrêmement large, des cris si particuliers de Beat It Upright, la voix aiguë de I'm Hiding ou les tons graves de Bottled Up Inside; et accompagnant ce frontman de talent, le groupe n'est pas en reste de prouesses. Alliant puissance, précision, mélodie entêtante voir rythme électro comme sur Wake Up Hate.
    Korn signe ici son album le plus abouti et le plus travaillé, stupéfiant de creativité et d'audace, seul Korn peut se permettre un tel exploit et prouve si il en était besoin qu'ils ne sont pas les pères d'un style musical pour rien.



    Life is peachy
    Note : 18 / 20
    Année : 1996
    A Ecouter : en intégralité
    :: Acheter sur Amazon ::
    - 45 Commentaires (Moyenne : 17.21/20) -

    Life is Peachy fait peur. Oui, cette seconde livraison des 5 de Bakersfield impressione et surprend par sa noirceur. Soit, le premier album nous avait déjà mis en garde avec ses lyrics  torturés, ses hurlements déchirants et ses sanglots rageurs, mais les couleurs trouvaient encore leur place dans cet univers crasseux et dérangeant où se mêlaient enfance, violence et pornographie. Ici tout est différent. Life is Peachy ne dérange pas, il fait peur. Qu’est ce que cette silhouette menaçante derrière le jeune garçon de la pochette ? De quelle bête sauvage proviennent les borborygmes du premier morceau ?

    La réponse est simple : l’enfant Korn a mûrit. Après une enfance éponyme où se décelait une fragilité à fleur de peau, Korn rentre dans sa phase adolescente. Dorénavant, le propos sera plus violent, plus direct. Titres courts, explicites et intenses, voilà le nouveau Korn. Bien sûr l’évolution n’est pas frappante, d’ailleurs le style reste foncièrement le même avec ses guitares vrombissantes, sa basse pachydermique et sa caisse claire claquante. Et pourtant l’ambiance n’est plus la même. Le Korn adolescent se rebelle, s’émancipe, et libère toute sa haine et sa violence de manière crue et franche. Les titres sont d’ailleurs évocateurs : Wicked, Swallow ou autres Kill You ne font que renforcer cette impression de rage sourde émanant de l’album. De victime, Korn devient bourreau ; jadis enfant craintif il est maintenant un adolescent revanchard ; il ne pose plus de questions mais donne les réponses.

    La production cheap confère à l’album un son gras retranscrivant à merveille ce flot irréfléchi de violence qu’est Life si Peachy. Et c’est ce qui est fascinant à l’écoute de ces 14 titres : leur franchise. Davis s’époumone lors de pétages de cables ahurissants, les guitares crachent des riffs farfelus superposant grondements de tondeuses et gémissements de larsens, la basse groove comme jamais et pourtant le tout reste crédible. Jamais cette violence ne paraît simulée, pour la simple et bonne raison que Life is Peachy vient des tripes, dernières charges amères de l’enfance sacrifiée de Davis. Ce que l’éponyme a commencé, Life is Peachy y met un terme. La catharsis à lieu, le teenager Korn se purge de toute cette noirceur accumulée depuis l’enfance. Et même si certains titres semblent plus légers ( on pense notamment au featuring avec Chino Moreno sur Wicked) l’ensemble n’en est pas moins une entité haineuse, violente et menaçante.

      Life is Peachy est de toute évidence le dernier album de Korn venu du fond des tripes de Bakersfield, authentique et vrai. En deux efforts seulement, le quintet ( ou quartet c'est selon ) a imposé sa vision nouvelle du metal, se posant en symbole du renouveau de la scène 90's.



    Korn
    Note : 18 / 20
    Année : 1994
    A Ecouter : si c'est pas déjà fait
    :: Acheter sur Amazon ::
    - 80 Commentaires (Moyenne : 18.78/20) -

      Vous ne pouvez vous imaginer la pression qui pèse sur mes épaules alors que j’entame cette chronique. On ne présente plus Korn,  groupe précurseur, novateur, toujours surprenant. On ne présente plus Blind, morceau d’introduction de ce cd et véritable hymne Kornien... Mais cet éponyme, premier album culte, aux critiques unanimes...Plus que l’album de la découverte, c’est ici celui de la révélation, de la consécration : l’album parfait.
    C’est donc avec un peu d’appréhension que je m’attelle à cette  tâche ardue qu’est  la chronique de Korn, chef d’œuvre metal sortit il y à 12 ans déjà...

      Replaçons nous dans le contexte : 1994 est définitivement une année importante musicalement parlant, outre la mort de Kurt Cobain, ou l’inoubliable Rythm Of The Night de Corona, cette année voit fleurir nombre d’albums cultes : Green Day avec Dookie, The Offspring avec Smash ou Kyuss et son Welcome To Sky Valley. Cependant côté métal, l’heure en est au questionnement et à l’innovation : les groupes osent des crossovers entre styles et expérimentent de plus en plus. Rage Against The Machine ou Faith No More ont déjà joué leur petite révolution il y a de cela 2 ans avec d’une part un manifeste de rap metal engagé et de l’autre un chef d’œuvre de rock metal alternatif. Une période riche donc, marquant un désir de nouveauté et d’air frais de la part du public et une conjoncture parfaite pour la sortie du premier album du quintet de Bakersfield.

      Dès l’entame de l’album se font sentir les caractéristiques propres au "son Korn" : des guitares au son plombé extrêmement pesant (les fameuses guitares 7 cordes), un chant alternant des couplets fragiles et murmurés aux refrains hurlés et surtout une base rythmique prédominante avec la basse slappée très groovy de Fiedly et la caisse claire claquante de Silveria. Les bases sont posées, le son Korn s’impose, gras, ronronnant et incroyablement efficace.
      La structure des morceaux est souvent la même :  à une intro virulente et catchy succède un couplet chanté, entremêlement de guitares lancinantes et aiguës, menées par un duo basse/batterie imposant. Le refrain quand à lui peut tout aussi bien laisser place à des pétages de plomb dont seul Korn a le secret qu’à de lent passages oppressants. Mais malgré ces structures quelque peu répétitives et ces riffs basiques, le groupe surprend par son inventivité : première apparition de la fameuse cornemuse, contretemps, guitares bruitistes, borborygmes... Les ambiances s’installent progressivement, dans un assemblages de sons, de ruptures, de black-out, de riffs vicieux et lancinants. Il se dégage de cet album une atmosphère pesante et malsaine. A l’image des photos de revues pornos et de jouets d’enfant présentes dans le livret, Korn exprime une jeunesse salie, une innocence corrompue. Et c’est là que réside toute la portée de cet album : les textes hautement autobiographiques de Jonathan Davis sont un exutoire à toute la rage et la tristesse de ce dernier. Son malaise devient palpable, il prend forme dans ses pleurs, ses gémissements et ses hurlements. Canalisant toute cette hargne juvénile dans sa musique, dans une catharsis qui s’étendra au moins jusqu’à Life is Peachy (si ce n’est jusqu’à Issues), Davis apporte intensité et authenticité à l’album. Soit, Korn n’est pas le disque le plus sombre du groupe mais il est sûrement le plus malsain, le plus désespéré. 
      Tel un filet se refermant progressivement sur sa proie, cet éponyme va crescendo dans le mal-être et la colère. Plus les titres défilent, plus la pensée tourmentée de Davis se révèle, dans tout  ce qu’elle à de plus sombre et de plus glauque. Les cris sont de plus en plus écorchés, les guitares sont pachydermiques, la rage s’accentue jusqu’à atteindre de vraies phases de barbarie pure (Lies). Enfin, Daddy clôt majestueusement l’album, condensé de peine, de douleur, déversoir de haine et de tristesse. Progressivement le bruit s’apaise, au milieu des pleurs dérangeants de Jonathan Davis, parfois un sursaut, un sanglot éclate : dernier soubresaut de violence, bercé par un chant maternel.

      Considéré par beaucoup comme le premier album de néo-metal, l’éponyme de Korn est indubitablement à l’origine d’un mouvement musical, le groupe  entraînant derrière lui des formations comme Deftones ou Limp Bizkit. Cependant, l’étiquette neo qui les suit encore aujourd’hui n’est pas pertinente tant les influences de Korn sont vastes et leurs albums variés. C’est là tout le paradoxe de ce groupe, initiateur d’une véritable révolution métal mais qui s’éloignera le plus souvent des canons du neo, puisant tant dans l’indus que dans l’electro.
    Un album ultime donc, que tout bon metalhead se doit de posséder dans sa discographie.







    25/10/2006 18:16



    Horizon

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    DV8 Double-Neck

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    Natural F

    Exotic Wood F

    Exotic Wood F Bass





    et c"est ma maison !! comment la trouvez vous ??

    24/10/2006 18:27

    et c







    30/09/2006 00:37





    Commentaire de darksadness (07/02/2008 17:09) :

    ne cerai-ce pas angela gossow, de arch enemy ?, lol :D biensur que c elle y'en a pas deux comme elle sur cette terre, trop fort cette meuf ( du point de vu vocal )

    http://darksadness.vip-blog.com




    30/09/2006 00:20



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